reflexos de vida no silêncio espelhado da água. fragas de vidro em descontinuidades do olhar ...

quinta-feira, novembro 09, 2006



La Bohéme

Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
ne peuvent pas connaitre
Montmartre em ce temps lá
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenętres
ne peuvent pas connaitre
Montmartre em ce temps lá
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenętres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est la qu'on s'es connu
Moi qui criat famine"

Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est la qu'on s'es connu

Moi qui criat famine
Et toi qui posait nue
La bohéme, la bohéme
Ça voulait dire on est heureux
Et toi qui posait nue
La bohčme, la bohčme
Ça voulait dire on est heureux
Nous ne mangions qu'um jour sur deux
Dans les cafés voissins
Nous étions quelques uns

La bohčme, la bohčme
Nous ne mangions qu'um jour sur deux
Dans les cafés voissins
Nous étions quelques uns
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistrot
Qui attendions la gloire et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistrot
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poęle
En oubliant l'hiver"
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poęle
En oubliant l'hiver
La bohčme, la bohčme
Ça voulait dire on es jolie
La bohčme, la bohčme"
La bohčme, la bohčme
Ça voulait dire on es jolie

La bohčme, la bohčme

Et nous avions tous du génie
Souvent il m'arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Et nous avions tous du génie
Souvent il m'arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d'un sein
Du galbe d'une hanche
Et ce n'est qu'au matin

Retouchant le dessin
De la ligne d'un sein
Du galbe d'une hanche
Et ce n'est qu'au matin
Qu'on s'asseyait enfin
Devant un Café-Creme
Epuisés mais ravis
Fallait-il que l'on s'aime


Qu'on s'asseyait enfin
Devant un Café-Creme
Epuisés mais ravis
Fallait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie
La bohčme, la bohčme
Ça voulait dire on a vingt ans
Et qu'on aime la vie

La bohčme, la bohčme

Ça voulait dire on a vingt ans
Et nous vivions de l'air du temps
Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire um tour

La bohčme, la bohčme

Et nous vivions de l'air du temps
Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire um tour
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui out vu ma jeunesse
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui out vu ma jeunesse
En haut dún escalier
Je cherche l'atelier Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor

haut dún escalier
Je cherche l'atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
et les lilas sont morts
La bohčme, la bohčme


Montmartre semble triste
et les lilas sont morts

La bohčme, la bohčme
La bohčme, la bohčme
Ça ne veut plus rien dire du tout
On était jeunes, on était fous
La bohčme, la bohčme
Ça ne veut plus rien dire du tout
Charles Aznavour

Sem comentários: